Heart of Orléans BIA

Plaques historiques : un projet toujours en évolution

Si vous vous promenez sur le boulevard Saint-Joseph, vous allez sûrement remarquer les magnifiques plaques historiques.

Le projet de plaques a débuté en 2013 alors que la Zone d’amélioration commerciale (ZAC) du Cœur d’Orléans et la Société franco-ontarienne du patrimoine d’Orléans (SFOPHO) se sont rencontrées afin de partager leur vision commune de faire installer une série de plaques historiques le long du boulevard Saint-Joseph.

La SFOPHO venait de publier un recueil intitulé Orléans 1950-1960, financé par la Fondation Trillium de l’Ontario, et grâce à une équipe de bénévoles qui ont fait les recherches et rédigé plus d’une trentaine de capsules portant sur la vie d’autrefois à Orléans du point de vue culturel, économique, social et agricole.

En 2014, les premières plaques furent installées grâce au financement de la ZAC du Cœur d’Orléans et au travail des bénévoles de la SFOPHO qui ont révisé et édité chacune des 31 capsules qui se sont retrouvées sur 26 plaques de l’époque. (Certaines plaques regroupaient deux ou même trois capsules.) Depuis, d’autres plaques se sont ajoutées le long du boulevard Saint-Joseph (ou sur une rue adjacente) portant le nombre de plaques à 32 racontant l’histoire de 37 lieux historiques. 

Chaque année la SPOPHO fait l’inventaire des plaques qui ont besoin de réparations ou de faire remplacer leur revêtement. Grâce au financement de la ZAC du Cœur d’Orléans et aux bénévoles de la SFOPHO (coordination et gestion), les plaques gardent leur belle apparence.

Cette année, l’entretien des plaques a pris des proportions plus importantes puisqu’après 8 années en place, certaines d’entre elles (surtout celles qui font face au sud) ont perdu de leur lustre. C’est ainsi que le revêtement de 12 plaques sera renouvelé. Également, on en profitera pour remplacer le module complet de l’une d’entre elles et pour redresser le poteau d’une autre.

Il est important pour la SFOPHO et la ZAC que les plaques historiques soient constamment à leur meilleur et qu’elles demeurent faciles à lire, de sorte que la transmission de notre belle histoire locale se fasse agréablement.

Écrit par Mme. Nicole Fortier President of SFOPHO