L’expansion du Train léger sur rail (TLR) est bien plus qu’un projet de transport : c’est une occasion unique de rapprocher les gens, les idées et les communautés. Pour l’École d’art d’Ottawa (ÉAO), la nouvelle ligne aidera à unir ses deux campus dynamiques : le campus du centre-ville et le Centre des arts Shenkman à La ZAC du Cœur d’Orléans.
Nous avons discuté avec Andrew Fay, directeur général de l’École d’art d’Ottawa, de ce que cette connexion signifie pour l’école, ses étudiants et la communauté artistique élargie.
« Le TLR offrira un lien sans rupture entre notre campus du centre-ville et le Centre des arts Shenkman à la ZAC du Cœur Orléans », explique Andrew. Cette connexion améliorée réduira le temps de déplacement et rendra les deux emplacements plus accessibles, permettant aux étudiants, au personnel et aux publics de circuler plus librement entre ces deux pôles de créativité.

Pour de nombreux apprenants, en particulier les jeunes, les aînés et les nouveaux arrivants qui n’ont pas accès à une voiture, un transport en commun fiable est essentiel. « Un meilleur transport signifie un accès plus équitable pour nos étudiants, notre personnel et nos visiteurs », souligne Andrew. Le TLR facilitera la participation aux cours, aux expositions et aux événements, en éliminant la barrière des déplacements longs ou compliqués.
Grâce à un transport plus rapide et plus fiable, l’ÉAO s’attend à une plus grande participation à ses programmes et événements. Le TLR ouvrira de nouvelles portes : les résidents du centre-ville auront un meilleur accès aux cours offerts à Orléans, tandis que les résidents de l’est pourront participer plus activement aux activités du centre-ville. Résultat : une augmentation des inscriptions, un public élargi et un échange créatif renforcé à l’échelle de la ville.

Le TLR est également un outil de collaboration. Andrew souligne que l’expansion « rendra les partenariats beaucoup plus réalisables ». Qu’il s’agisse de programmation conjointe avec le Centre des arts Shenkman ou de festivals partagés avec d’autres organismes artistiques de l’est de la ville, une meilleure mobilité à travers Ottawa favorisera une communauté artistique plus forte et plus intégrée.

Ce qui enthousiasme le plus l’ÉAO, c’est le potentiel pour l’avenir. « Le TLR ne se limite pas à déplacer des gens — il s’agit de bâtir des ponts entre les communautés », affirme Andrew. Pour l’École d’art d’Ottawa, cela représente un avenir où l’éducation artistique et les expériences culturelles sont plus accessibles, où les campus sont unis et où la communauté ottavienne au sens large peut s’engager dans les arts sans obstacles.
La ZAC du Cœur d’Orléans se réjouit de voir comment des projets comme le TLR peuvent favoriser la connexion, la créativité et la communauté dans toute notre ville.
